Messages : 309 Puissance : 407 Inscription : 06/01/2013 Maison : Serdaigle Double-compte : : Rose S. Carlton
Feuille de personnage Avatar: Lyndsy Fonseca Année : 7 ème Âge du personnage: 17 ans
Sujet: A friendship never ends ♦ Jordana S. Hans Mer 13 Fév - 9:37
••• A friendship never ends •••
Samedi après-midi... Je suis assise dans le parc de Poudlard, seule. J'avais besoin d'un moment à moi pour réfléchir, faire le point sur ma vie et sur ce que je voulais vraiment. Il m'arrive souvent de vouloir faire le point et aujourd'hui j'en avais particulièrement besoin. Jane m'a proposé d'aller avec elle et les filles à Pré-au-lard mais je n'en avais tout simplement pas envie... C'est idiot, pour une fois qu'elle n'était pas avec son crétin de petit ami. Argh je déteste ce type. Ne pense pas à lui Ellie, il n'est même pas présent et il va réussir à te mettre en colère... Non, je refuse. Revenons-en au bilan de ma réflexion.
Ma vie est exactement ce que je veux qu'elle soit... J'ai des amis extraordinaires, des points brillants qui s'accompagnent des félicitations de tous mes professeurs, des parents fiers de moi, un petit frère que j'aime de tout mon coeur, une crétine de petite soeur, je suis préfète en chef, ... Tout va bien. Excepté que je n'ai pas de petit ami et que je suis toujours vierge. Mais ce sont des détails qui se règleront obligatoirement un jour... Du moins je l'espère. Jane est tellement plus libérée depuis qu'elle a fait l'amour avec ce crétin de Gregory. Elle est constamment de bonne humeur, elle sourit, chante et tout est rose. Est-ce là l'effet du sexe ? Selon mes livres ce phénomène est en fait du aux hormones engendrées par l'acte sexuel et... Bref. Ce n'est pas comme ça que qui que ce soit voudra le faire avec moi.
Sujet: Re: A friendship never ends ♦ Jordana S. Hans Sam 16 Fév - 11:35
A friendship never ends
« ELLIE & JORDANA »
Un beau samedi après-midi. Je venais de quitter Alex, avec qui je devais aller à Pré-Au-Lard plus tard. Il voulait réviser, moi je pensais qu’il désirait surtout tester une autre bêtise. J’étais passé dans le dortoir pour aller prendre le livre que je lisais en ce moment, et comptais encore parcourir quelques pages au parc. J’aime bien cet endroit. Il est paisible, et à la fois curieux. Certains élèves me demandèrent ce que je voulais faire de mon après-midi. Ne voulant pas vraiment être en leur compagnie, je leur inventais un mensonge de toutes pièce, puis en un sourire je fis volte face et continuais ma route. Parfois, je me dis que des personnes extraordinaires ont franchi cette arche. C’est tellement excitant ! Peut-être qu’un jour, ce sera de moi qu’on parlera, ou de mon frère, voir même d’un ou une amie à moi. Je souris à cette idée. Le destin nous réserve des surprises d’une si grande intensité ! Je trouvais un banc, et décidais de m’y installer. Je m’assis, et ouvris mon livre, je parcourais chaque mot de chaque phrase que contenaient les pages. J’adorais, cette histoire d’amour impossible entre deux amis. Inconsciemment, elle me faisait penser à celle que je vivais avec mon meilleur ami, Charlie. Cette attirance, je sais bien qu’elle n’est pas anodine. On ne ressent pas ce genre d’émotion quand son meilleur ami fait un câlin à une autre fille, discute, rit. En vérité, cette histoire me fait réfléchir plus qu’autre chose. J’aimerais faire irruption dans ce livre, et leur dire qu’ils n’ont qu’à la jouer à la Roméo et Juliette. Je fermais mon livre et le lançais avec agacement à l’autre bout du banc. Je mis mes pieds à son bout, et mes genoux se retrouvèrent à la hauteur de mes lèvres. Je restais comme ça un moment, en ne pensant à rien. Le tintement de la grande horloge me ramena à la raison. Il était maintenant 14 heures. Il ne me restait qu’une heure à attendre Alex avant de sortir de l’école et de me rendre à Pré-Au-Lard. J’étais en train de me demander ce que l’on pourrait faire quand je vis Ellie traverser le parc pour aller s’asseoir, elle aussi. Comme moi, elle était seule et semblait plongée dans ses pensées. Je me tâtais d’aller la rejoindre, ne voulant pas la briser dans ses réflexions, mais mes jambes se levèrent toutes seule. J’arrivais devant elle, et me regarda. Je lui souris et pour briser le silence, je lui lançais : « Ça va, toi? » Tout en m'asseyant à ses côtés.